
Dernière étape de notre croisière, après une nouvelle nuit devant Saint- Louis, nous faisions route vers Pointe-à-Pitre !

Dernière étape de notre croisière, après une nouvelle nuit devant Saint- Louis, nous faisions route vers Pointe-à-Pitre !

Hier et ce matin, nous sommes baignés à Petite-Terre en nous rapprochant de la barrière de corail. Nous avons vu des myriades de poissons multicolores et des tortues. Ce matin, j’ai eu l’œil attiré par une trace quasi rectiligne sur la sable. Au bout de cette trace, j’ai pu observer un coquillage, un lambi, en train de se déplacer au fond de l’eau.

En fin de matinée, nous sommes descendus à terre sur l’île de Terre-de-Bas. Les deux îles de Petite-Terre se nomment Terre-de-Haut et Terre-de-Bas, comme deux des îles de l’archipel des Saintes.

Cette île est le paradis des iguanes !




Mais nous avons aussi croisé un groupe dé bernard-l’ermite.
De retour sur le bateau, nous avons la visite d’un sucrier à ventre jaune

Nous avons quitté Petite-Terre vers 13h45 destination Saint-Louis.



Nous voici arrivés à Petite-Terre pour la nuit. Cet archipel de deux îles est une réserve naturelle.

Une barrière de corail entoure les deux iles. Une petite passe à l’ouest permet de rejoindre les bouées de mouillage situées entre les deux îles.



Visite de la petite ville de Saint-Louis, qui mêle un charme certain mais aussi pas mal de bâtiments à l’abandon.










J’en ai profité pour acheter quelques spécialités locales, qui n’ont rien à voir avec la galette bretonne !





Samsara est un sister-ship de Lola of Skagen, sa petite sœur en somme, puisqu’elle a été construite en 1924. Samsara est un hajkutter, un voilier qui pratiquait la pêche à la senne danoise en mer du Nord.
Pour en savoir plus sur l’histoire des hajkutters, il faut lire l’excellent livre Lola, 100 ans de mer de mon ami Jean-Francois Garenne.

Jean-Francois raconte l’histoire de son voilier, et aussi celle de sa rencontre avec Lola.
Vous pouvez le commander ici.
Samsara appartient maintenant à la distillerie Bielle, dont j’ai eu l’occasion d’apprécier la production.


À cause de sa forme circulaire et de son relief quasiment inexistant plat, Marie-Galante est parfois appelée la « Grande Galette ».
Nous voici donc mouillés face à Saint-Louis, Marie-Galante. Sa forme aplatie contraste avec les reliefs accidentés des îles précédemment visitées.
À l’horizon, nous pouvons voir Les Saintes, que nous avons quittées ce matin. Sur notre route, nous avons aperçu les côtes de Basse- Terre.


Quelques animaux croisés sur Terre-de-Haut, où l’on voit aussi poules et coqs se promener en toute liberté.





Cet après-midi, nous sommes allés nous baigner à la plage de Pompierre. Située au nord-est de l’île de Terre-de-Haut dans une baie très protégée, elle reste néanmoins soumise aux vents dominants venant de l’est, les fameux alizés, comme le montrent les photos.

Nous avons aussi dégusté d’excellentes noix de coco.


